BYBLOS 762=2( Palavas 05/05)( Salin de Giraud 26/05)
CLAN CLAN 033=3( Jonquieres 05/05)( Eyguieres 03/06)( Saint Geniès des Mourgues 23/08)
COLBERT 031 =6 (Saint-Laurent d’Aigouze 15/04)( Eyguieres 03/06)( Montfrin 24/06)( Uzes 07/07)( Jonquieres Saint Vincent 02/08)( Saint Laurent d’Aigouze 02/09)
GABIN 813 = 4(Les Saintes-Maries de la Mer 22/04)(Bellegarde 12/05)( Vallabregues 12/07)( Salin de Giraud 18/08)
GALOPIN 112 = 5 (Bellegarde 01/04)(Tarascon 20/05)( Arles 18/07)( Les Saintes Maries de la Mer 02/09)( Le Grau du Roi 10/09)
HUSSARD 812=1(Port Saint Louis 12/05)
JUPITER 619 = 6(Les Saintes-Maries de la Mer 01/04)( Le Grau du Roi 17/06)( Beaucaire 15/07)( Le Grau du Roi 15/08)( Chateaurenard 09/9)( Nimes 21/10)
LEBRAU 821 = 6(Chateaurenard 22/04)(Beaucaire 06/05)(Le Grau du Roi 17/06)( Beaucaire 22/07)( Les Saintes Maries de la Mer 12/08) ( Le Grau du Roi 09/09)
MARLOU 953 = 4(Le Grau du Roi 15/04)( Beaucaire 06/05)( Le Grau du Roi 17/06)( Beaucaire 26/07)
MEPHISTO 960 = 6 (Saint-Laurent d’Aigouze 15/04)(Tarascon 20/05)(Eyguieres 03/06)( Manduel 27/08)( Le Grau du Roi 10/09)( Cavaillon 23/09)
MURAT 120 = 2 (Saint-Laurent d’Aigouze 15/04)( Aramon 01/09)
OURASI 034=3( Tarascon 20/05)( Le Grau du Roi 17/06)( Aramon 01/09)
PHARAON 109 = 5 (Saint-Laurent d’Aigouze 15/04)(Tarascon 20/05)( Eyguieres 03/06)( Chateaurenard 03/07)( Saint Geniès des Mourgues 23/08)
RADIEUX 113 = 6(Saint-Laurent d’Aigouze 15/04)(Tarascon 20/05)(Eyguieres 03/06)( Chateaurenard 03/07)( Jonquieres Saint Vincent 30/08)( Saint Remy de Provence 24/09) de
ROMEO 763=4( Le Grau du Roi 17/06)( Lansargues 08/07)( Montfrin 05/08)( Saint Laurent d’Aigouze 23/08)
Jeune, son avenir s’orientait plutôt vers le football, sport pour lequel il présentait de réelles qualités. C’est au contact du taureau lors des fêtes que le premier lien se créa, pour ensuite intégrer l’école taurine de Vendargues.
Il accède à l’âge de 18 ans à la catégorie des courses de protection
PALMARÈS
Trophée de l’Avenir en 1999.
Trophée des As (Championnat de France) en 2000, 2001, 2002, 2003, 2004, 2005, 2006, 2008, 2009 et 2014. Il détient le record du nombre de victoires, ainsi que de victoires consécutives.
Cocarde d’or en 2002, 2005, 2006, 2007, 2009 et 2013.
Il commence à raseter en 1976. Il prend sa retraite en 1996.
Il vécut à La Calmette, où il installa sa manade, la manade du Devois, avant de rejoindre les Saintes-Maries-de-la-Mer après les inondations de 2002. Véritable star de la Course Camarguaise .
« Un jeune garçon, crinière au vent, demande au tourneur de service d’appeler le taureau. Un beau raset et un immense coup de barrière pour conclure. Le jeune homme recommence. Même raset, même action et cocarde dans la poche. Et ça continue et le gland est dans le crochet , tandis que ses partenaires restent des spectateurs forcés.Et, au bout de l’action, toujours le même geste : bref regard au taureau qui fuit et la main droite qui relève les cheveux pour les laisser retomber épars. Des gestes précis, calmes, sobres… » Paul Coulomb
« Hyper doué avec des facilités déconcertantes, une grosse technique, Christian était un athlète qui aurait pu être un champion du cent mètres. » Thierry Ferrand
Le dernier raset de Christian Chomel a été pour le taureau Pacific de Ricard à Nîmes le 24 novembre 1996
André Soler, né le à Salon-de-Provence et mort le dans la même ville. Il fait partie du carré d’As, mythique groupe de raseteurs formé de Roger Pascal, François Canto et Francis San Juan.
Originaire du village d’Aureille, il fait ses débuts dans la course camarguaise au hameau de Mas-Thibert, mais ne rasète avec la tenue blanche qu’en 1954 à Pélissanne. Gravement blessé par le cocardier Loustic à Beaucaire, il participe à sa dernière course le à Lunel après une opération infructueuse du ménisque.
Il a eu pour tourneur Léopold Dupont, d’Aimargues.
Il fit le caballero quelque temps, puis fonda une manade.
Il est mort des suites d’une maladie en à Salon-de-Provence. Une statue lui a été élevée dans son village d’origine et elle accueille chaque année une cérémonie en sa mémoire
PALMARÈS
Cocarde d’or : 1958, 1960, 1964
Palme d’or : 1958, 1962, 1963, 1964
Cocarde d’honneur : 1964
Coupe des baigneurs : 1963
Gland d’or : 1961, 1962, 1963
Raisin d’or : 1963
Trophée Guiraud : 1959, 1960, 1961, 1962, 1963
Trophée des As : 1958, 1960, 1961, 1962, 1963, 1964
Journée André Soler (Aureille) Meilleur raseteur 1994
06 février 1989 // Il y a 30 ans, Paul LAURENT, le « Pape de la bouvine » nous quittait
La manade Laurent fut fondée en 1944, par Paul Laurent, dit « Le Pape de la Bouvine ».
Né le à Beaucaire, Paul Laurent fait ses débuts comme éleveur de moutons au mas d’Assac, à Beaucaire, dans la propriété familiale.
Gardian amateur, il fait la connaissance d’Henri Aubanel par l’intermédiaire de Justin Bonnafoux. Aubanel, devenu un ami, lui vend 25 vaches issues du bétail de la manade Baroncelli, ce qui lui permet de créer sa propre manade en 1944. Il l’installe d’abord au mas d’Assac, puis au domaine des Marquises, à Salin-de-Giraud, à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il prend également Bonnafoux à son service, lequel emploi le cocardier Vovo pour étoffer le cheptel.
Directeur des arènes de Beaucaire, qui portent désormais son nom de nos jours, à partir de 1947, il s’associe à deux journalistes, Georges Thiel et Marius Gardiol, pour créer en 1952 un championnat de course camarguaise : le Trophée taurin camarguais. Il a également dirigé les arènes de Lunel, Châteaurenard, Nîmes, Arles et les arènes des Saintes-Maries-de-la-Mer.
Son nom et son surnom de « Pape de la bouvine » resteront à jamais marqués dans l’histoire de la tauromachie camarguaise. Après son décès en 1989, Henri Laurent a mené de main de maitre la manade, et désormais Patrick et l’arrière petit fils Paul.
INFO // MATHIS, le Bioù d’or 2006 de la Manade Lautier, s’en est allé au Paradis des taureaux
Ce mardi, la nouvelle est tombée, comme un coup de tonnerre sur la Course Camarguaise. MATHIS, le bioù d’or 2006, cocardier vedette de la manade Lautier, s’en est allé rejoindre les anciens taureaux de la devise, au paradis des seigneurs de Camargue. Frédéric Lautier sentait depuis quelques jours que, ce qu’il redouté, allait arriver. Mathis s’en est allé à l’âge de 21 ans.
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